Dieu, dit-on, a créé le monde et la vie.
L’homme blanc la détruit.

Plus j’écoute,
Plus j’apprends,
Plus j’observe,
Plus je perçois les dysfonctionnements globaux
Et plus j’en conclus :
Faut tout bousiller !

On me rétorquera :
ce n’est pas parce qu’il y a quelques fruits pourris qu’il faut condamner l’arbre.
Mais qu’en est-il quand l’arbre lui-même est pourri et qu’il ne masque plus le pourrissement de l’entier de la forêt ?

Au-delà des apparences, la civilisation occidentale est devenue désormais un formidable processus d’autodestruction.

Peut-être la catastrophe nous permettra-t-elle de sauver ce qui reste encore à sauver.
Et peut-être encore, n’est-ce pas là un paradoxe.